Edition : J'ai lu
506 pages
Roman historique – Renaissance italienne
Quatrième de couverture :
1469. Les Médicis règnent sur Florence. Laurence, « le Magnifique », n’a que vingt et un as quand il reprend le flambeau, mais on devine déjà en lui un mécène qui va fertiliser cette galaxie sensible et explosive qu’on appellera plus tard la Renaissance…
Une distribution fabuleuse ! A commencer par Léonard de Vinci et ses recherches désordonnées qui le conduisent de Rome à Milan, de la cour des Borgia à celle des rois de France, de la musique et des machines volantes à Mona Lisa.
Une vie d’artiste, de nomade. Il côtoie Machiavel, à la verve florentine, mais aussi celui qu’il considère comme son rival, Michel Ange, englué dans ses conflits avec le Vatican, et puis Botticelli, Raphaël, toute une pléiade de génies dont le rayonnement ne cesse de croître… C’était au temps où la Joconde parlait…
Jean Diwo : Journaliste, grand reporter à Paris-Match, fondateur et directeur de Télé 7 Jours, il a quitté la presse il y a dix ans pour la littérature. Lauréat de l’Académie française en 1982, il renoue ici avec le style « roman historique » choisi pour Les dames du faubourg et Les violons du roi.
Mes impressions :
Un roman dynamique partagé en plusieurs chapitre pour suivre l’évolution de chaque artiste. Il y a bien sur les incontournables : Léonard de Vinci, Michel Ange, Botticelli, Raphaël mais bien d’autres encore ayant eu leur place parmi les grands. J’ai d’ailleurs découvert Antonello da Messina qui fit le trajet jusqu’à Bruges afin de connaître le secret de la peinture à l’huile.
Le contexte histoire ne manque pas d’être décrit étant donnée la relation étroite qu’entretenaient les artistiques avec les rois, les papes et autres grands de l’Italie.
Le contexte historique n’est pas particulièrement développer mais le roman est très fluide à lire et les dialogues donnent de la vie aux personnages.