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318 pages
2024. Alors que le tentaculaire réseau mondial offre toujours davantage d’informations, l’ordre international est au bord de l’explosion… La présidente américaine a été assassinée et une présidente américaine a été assassinée et une photo du meurtrier diffusée sur Internet accuse formellement l’Afghanistan. Mais alors que les Etats-Unis ont lancé une violente guerre contre le régime de Kaboul, il se pourrait que la photo soit en réalité un montage…
Pour Gideon Wolfe, professeur en psychologie criminelle, une personne aussi démente que géniale a pris le contrôle de la Toile mondiale et cherche à plonger le monde dans le chaos. Sa traque le conduira jusqu’à Malcolm Tressalian. Nouveau capitaine Nemo, celui-ci est prêt à tout pour imposer une nouvelle société : falsifier l’histoire ou, à défaut, tuer le temps…
A moi la parole :
Une science fiction qui convient tout à fait à celles et ceux qui ne sont pas des mordus du genre comme moi.
Il m’a semblé quelques fois être assez proche de la réalité.
Une histoire qui ne semble d’ailleurs pas très éloignée de la réalité sous certains aspects.
Le thème vise à dénoncer l’excès d’information au dépend du savoir. Une information qui rime avec manipulation.
Bien que le déroulement de l’histoire soit intéressant et bien construit, notamment la fin l’approche des personnages n’est pas suffisante pour s’y attacher. Leur présentation ressemble trop à une esquisse.
Si le message de cette lecture est que l’information n’est pas la connaissance, j’ai trouvé intéressant le passage où le savoir transmis par la tradition est remis également en question par le personnage principal.