Editions Le Livre de Poche
155 pages
Nouvelle
Née en Russie, Nata Minor suit très jeune ses parents dans leur exil vers la France. Psychanalyste, traductrice de Pouchkine, elle est l’auteur de plusieurs essais et romans dont Le Temps du cavalier, Qui a écrit Madame Solario ? La Belle Saison et Qui est là ? (2002). Elle vit aujourd’hui à Paris et à Trouville-sur-mer.
Quatrième de couverture :
Afanassi, un valet de chambre russe, raconte sa vie au service de celle qu’il appelle « Mademoiselle », au début du XXe siècle, à l’époque de la Révolution. Aventures tumultueuses qui les conduiront de Crimée à Paris en passant par Odessa, à la recherche très improbable de celui sur qui Mademoiselle a jeté son dévolu amoureux : Pierre Loti.
Mais très vite, les histoires d’Afanassi rejoignent l’imaginaire de la narratrice.
Dans un texte intitulé Langue étrangère, Nata Minor écrivait : Qu’en est-il de ceux qui, tentant d’écrire dans une langue d’usage –pour eux, langue d’adoption-, s’acharnent à leur insu à trouver le mot juste qui reprendra en un seul son tout le suc des mots de la langue maternelle. Comme s’il s’agissait de restaurer, sur le terrain de leur scène quotidienne, le paysage d’une terre éloignée, d’une langue à présent oubliée ou déchue ».
Mes impressions :
Que fallait-il comprendre à cette histoire ? Je n’en ai pas la moindre idée. J’ai lu ces 155 pages assez facilement mais sans bien comprendre le rôle des deux personnages. Quel est le but du personnage principal ? Et Afanassi, où veut-il en venir ? Même l’histoire ne m’a parut claire. Que fallait-il percevoir dans l’utilisation de la langue d’usage pour restituer la langue maternelle ?
Peut-être suis-je passé à côté d’un bijou de la littérature comme il était noté également sur la 4ème de couverture mais je vais arrêter là de me poser toutes ces questions. Je passe au livre suivant.