Roman historique : Renaissance
Edition : J'ai lu
Nombre de pages : 304
Quatrième de couverture :
Un royaume de France au bord du gouffre, menacé par des guerres incessantes et par un conflit religieux de plus en plus sanglant. Le feu des fêtes et celui des bûchers, l’ardeur des batailles et celle des luttes de palais. Un souverain dépassé par les événements, ballotté entre deux familles – les Montmorency et les Guises – plus avides que jamais de pouvoir et de richesse. Une reine d’Ecosse, une bâtarde légitimée… Une favorite, Diane de Poitiers, parvenue au sommet de la puissance et de la gloire, mais qui fait passer sciemment ses intérêts avant ceux du pays… La chute de Saint-Quentin, la joute des Tournelles, le tumulte d’Amboise… Et puis une reine, encore humble, discrète, mais dont l’intelligence et le caractère assoient peu à peu l’autorité avant que le destin ne la propulse au tout premier plan. Voilà le cadre où évoluent, où se débattent mêmes, les demi-frères Gautier et Simon de Coisay, devenus père et oncle de la jeune, belle, inoubliable Françoise – ou le mariage haut en couleurs de la grande Histoire et de la petite.
Mes impressions :
Ce troisième tome qui achève la série reste sur le même ton que les précédents. Cependant la grande Histoire laisse davantage de place à la petite. Les grandes lignes qui demeurent du début à la fin portent sur les relations entre catholiques et les huguenots. Nous en suivons l’évolution pour chacun des personnages.
En parallèle et ce qui m’a intéressée dans le roman est le cheminement que réalise Catherine de Médicis. Petit à petit cette reine s’impose dans le rôle qui lui dévolue à la mort d’Henri II. Un personnage dont l’auteur sait nous intéresser et dont il paraît nous inviter à la découvrir un peu plus. En ce qui me concerne c’est gagné !