Je ne suis pas tombée dans la marmite de la lecture petite, j'ai tout fait pour l'éviter. J'ai bien lu les grands classique Club des Cinq, Fantomette, Lucky Luke, Astérix et surtout Caroline. Mais pas de quoi devenir une lectrice ravageuse. Ca m'a pris beaucoup plus tard et je me souviens encore de ce plaisir et de ce déclic. Depuis, la découverte des blogs et blogeurs(ses) mes lectures ont évoluées et le plaisir de partager n'est pas pour me déplaire. La bande dessinée est restée un intemporel pour moi. Sinon j'ai mes périodes romans, classiques, voyages, lectures françaises ou étrangères et c'est selon le moment et l'inspiration. Quelques billets sur des sorties viennent de temps en temps alimenter le blog. Ouvert depuis mars 2011 mon blog a quelques fois végété. C'est d'ailleurs le cas depuis fin 2015. Remotivée, je le relance et le dépoussière un peu. Pour commencer je ne suis plus Loo mais Milou et d'ici quelques temps je verrai pour la suite.
Editions Jean-Claude Lattès
217 pages
Quatrième de couverture :
Franck Lanier avait tout arrangé pour les vacances. Il casait son fils chez son ex-femme et lui filait à Bangkok. Mais son petit garçon, Laurent, n’est pas du tout d’accord. Il veut, lui aussi, partir pour Bangkok. Tous les moyens seront bons pour parvenir à ses fins, des plus drôles aux plus désespérés et des aventures peu banales se succèdent dans une vie quotidienne pleine de tendresse entre le père et le fils. Par l’auteur de l’Amour aveugle, ce roman alerte, rempli d’humour, est un des grands succès de ces dernières années.
Mes impressions :
J’ai découvert l’auteur avec ce livre. Et c’est le sourire aux lèvres que j’ai lu cette histoire racontée par un enfant de dix ans.
Il y est question d’éléphants, des copains, sa relation pleine de tendresse avec son père, de projets, de ses points de vue sur la vie, les adultes.
Il porte un regard quelques fois innocent mais toutefois très audacieux sur sa vie future.
Il ne manque d’imagination pour arrivé à ses fins notamment pour convaincre son père de l’emmener à Bangkok.
Le petit plus dans la lecture : se remémorer le quotidien de cette époque (45 tours, jean’s moulants, téléphone à fil…).