Lettres choisies de Madame de Sévigné
éditions Folio classique
295 pages
Lecture dans le cadre du challenge Les Grands Classiques
Quatrième de couverture :
Madame de Sévigné est devenue un grand écrivain presque sans le vouloir et sans le savoir. Ses lettres sont nées de sa conversation, vive, enjouée, coulant de source, dont elle a su conserver, à l'intention de ses correspondants, la succulente spontanéité. Lettres de la ville, lettres de la cour, lettres de Bretagne, lettres au cousin Bussy. Lettres surtout à sa fille, les plus belles après le départ de Mme de Grignan pour la Provence où son mari était nommé lieutenant-général. "La passion parle là toute pure", comme aurait dit Alceste et comme le dira un personnage de Proust : "Ce que ressentait Mme de Sévigné pour sa fille peut prétendre beaucoup plus justement ressembler à la passion que Racine a dépeinte dans Andromaque ou dans Phèdre que les banales relations que le jeune Sévigné avait avec ses maîtresses."
Une originalité de cette édition : elle ne propose que des lettres authentiques, dont les manuscrits sont connus alors que le Sévigné fictif ou approximatif a pullulé depuis la première édition des lettres de la marquise en 1725.
L'occasion pour moi de reprendre ce livre (que j'avais commencé et abandonné par obliqation) à l'occasion de challenge. Du peu que je me rappelle la lecture y est agréable grâce au tempérament enjoué de Madame de Sévigné. Il ne me reste plus qu'à reprendre la lecture et aller jusqu'au bout.
A suivre...