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20 octobre 2014 1 20 /10 /octobre /2014 09:14
L'enlèvement de la bibliothécaire - Margaret Mahy & Quentin Blake

L'enlèvement de la bibliothécaire de Margaret Mahy & Quentin Blake

Editions Folio Cadet

55 pages

Jeunesse

Aujourd'hui je passe le clavier à ma fille qui va présenter elle-même sa lecture. Elle a 8 ans, est en ce2 et aime lire. Nous avons choisi ensemble son pseudo bébé loo.

Mademoiselle La bourdette est bibliothécaire. elle se fait enlever par des briguent . Et

Madmoiselle la Bourdette as tite ne menlever pas je ne suis pas riche .Mes ils ons

atraper la rougoe .Donc maemoiselle la bourdette vas les soiger avec des l"ivre .

Un our le chefe des briguent .As aite poursuivi par un polisier . Donc pour l"aider elle l"uit as mit une netiquette sur le fron.Quomme si il aiter un l"ivre elle la vais mise sur une etagere .Ordre alphaetique s

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6 octobre 2014 1 06 /10 /octobre /2014 01:00

Eugénie Grandet Eugénie Grandet de Balzac

Editions Garnier Flammarion

189 pages

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4 octobre 2014 6 04 /10 /octobre /2014 04:00

Ouki.jpg Ouki de Sébastien Perez & Justine Brax

Editions Thomas Jeunesse

33 pages

A partir de 6 ans

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ouki1

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11 août 2014 1 11 /08 /août /2014 10:58
Epépé - Ferenc Karinthy

Epépé de Ferenc Karinthy
Editions Zulma 2013 (1969)

285 pages
Traduit du hongrois par Judith et Pierre Karinthy

 

 

 

Autant le dire tout de suite, je me suis sentie quelque peu essouflée à la fin de cette lecture. N'y voyez surtout pas une critique négative. Mais les aventures de ce linguiste ne nous laissent pas vraiment le temps de souffler.

 

C'est suite à une erreur ou un problème lors d'un voyage en avion que ce fameux linguiste va se retrouver malgrè lui dans une ville qui lui est totalement inconnu. Le temps de retrouver ces esprits et le voilà déjà emporté par une foule à laquelle il est bien difficile, voire impossible de résister. Mais lorsque notre personnage se rend vraiment compte de sa situation impossible de se faire comprendre pour retrouver son chemin, sa destination où il est attendu.

Il passera par les différentes étapes du comportement devant un évènement indésirable : le choc, le déni, la colère et le marchandage, la tristesse, la résignation, l'acceptation, la reconstruction.

Pourtant notre linguiste de part sa formation a un avantage certainMais dans cette ville il finira par se rendre compte qu'il lui est impossible de communiquer et même d'arriver à comprendre cette étrange langue. De surcroît, la foule qui grouille ne lui est pas sympathique. Il n'y a qu'auprès de la liftière de son hôtel qu'il arrive à avoir un semblant de communication. Il va donc se retrouver prisonnier dans une ville où il sera d'abord spectateur. Où les habitants semblent avoir plus au moins les mêmes besoins que n'importe qu'elle autre ville avec quelques codes à comprendre.

A toutes les phases de son comportement le liinguiste tentera de s'adapter afin d'obtenir un minimum d'échange, réclamer ce qu'il désire  mais parfois la situation lui imposera de lutter uniquement dans un but de survie.

L'amosphère de ce roman m'a semblé lourde avec un rythme effréné. Ce mixage m'a donné une lecture très dense qui, à peine commencée, m'a happé.  Cette impossibilité de communiquer est vraiment très difficile à vivre, autant pour Dubaï le linguiste que pour le lecteur. Et je me permet une fois de plus de préciser que c'est également une lecture réalisée avec la jambe plâtrée, situation qui n'a fait qu'accentuer l'impression d'étouffer (si, je vous assure).

J'ai été incroyablement surprise par cette lecture qui m'a paru sans faux-pas. Tout s'enchaîne avec beaucoup de logique . Seule petite gêne quand même, c'est qu'elle m'a rappellé une lecture faite il y a quelques temps, un recueil de nouvelles (Gloire de Daniel Kehlmann) où le même thème avait été abordé. L'histoire est toutefois un peu différente et bien sur moins remplie. Mais du coup l'effet surprise a été moins grand.

 

 

"Par endroits sur le long comptoir il y a bien des écriteaux, mais l'écriture, un alphabet inconnu, est tout aussi indéchiffrable que le texte des tableaux et affiches suspendus, ou les titres des revues ou des illustrés du marchand de journaux."

 

"Il retrouve un autre système de couloirs compliqué. Il doit marcher, aller et venir longtemps pour comprendre que les flèches plus grandes que les autres, peintes en blanc, indiquent la direction de la sortie ; il emprunte encore un escalier roulant infiniment long..."

"Ce mot atypatytapp" revnient souvent, elle prend parmi les objets une vieille chaussure d'enfant, ses yeux se remplissent de larmes."

 

Excellent roman à lire.
 

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 02:00
Le jeune homme vert - Michel Déon

Le jeune homme en vert de Michel Déon
Editions Folio 1991 (1975)
500 pages
roman

 

 


 


Eté 1919, Grangeville, Normandie- Abandonné à la porte de Jeanne et Albert, un bébé qui sera baptisé Jean, devriendra leur enfant qu'ils ont tant désiré. Albert est jardinier du domaine des Courseau une famille noble qui sera également très proche de Jean. L'histoire nous conduira jusqu'à l'aube de la deuxième guerre mondiale.

 

 

Jean grandit donc auprès de ses parents adoptifs partageant les jeux d'Antoinette et Michel Courseau. Une grande complicité se fait également avec Antoine, le père. Quand à Madame Courseau, Jean la trouve parfois un peu trop envahissante. D'autres personnes compteront aussi pour Jean comme l'abbé Le Couec, un breton égaré dans ce coin de Normandie toujours présent pour ses fidèles. Chantal de Malemort, fille de marquis pour qui Jean voue une grande passion.

 

Au fur et à mesure que Jean grandit, il envisage sa vie avec plus d'espace et plus d'ambition. Sa rencontre avec un prince d'Orient, Monsieur Ibrahim, ainsi que son chauffeur Salah lui apporteront  parfois une aide et une amitié précisieuses à chaque fois que leur route se croiseront.

 

 

Jean se découvre souvent naïf à travers les évenements et les rencontres qui se présentent à lui. Il se forge un caractère et se découvre au fur et à mesure.

 

C'est une histoire pittoresque avec des personnages plutôt interéssants avec en toile de fonds l'entre deux guerres. Et si l'enfance de Jean (on n'y attarde pas trop) se déroule uniquement dans le cadre de Grangeville, on prend assez vite la route pour d'autres coins de France et d'Europe.

 

"La campagne provençale, si harmonieuse, si belle - la plus belle du monde -, miroitait devant lui comme un mirage, avec ses murailles de cyprès noirs, ses toits de tuiles rondes, ocrées, ses mas paisibles et heureux, son ciel pâle."

 

 

Une très bonne lecture !

 

 

 

 

 

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4 août 2014 1 04 /08 /août /2014 02:00
L'or de Blaise Cendrars

L'or de Blaise Cendrars
Edition Folio 1997 (1925)
168 pages
Roman



 

L'or retrace la vie du Général Sutter parti de sa Suisse natale pour s'installer et faire fortune dans l'ouest américain. Son ascension est plutôt impressionnante, son sens des affaires et son acharnent  lui permettent d'acquérir un grand domaine agricole.

Mais une pépite d'or va le conduire à la ruine.

La vie de ce personnage est assez impressionnant mais cette folie de la ruée vers l'or l'est encore plus. Tant de folie !

Sutter perd beaucoup plus que de l'argent.

Impressionnant roman où le rêve de l'Amérique et la fièvre de l'or se font bien ressentir. Mais aussi une belle page d'histoire.

Sa première sortie à cheval a mené Sutter dans la vallée du Sacramento. L'incroyable fertilité du sol et la végétation luxuriante lui font choisir ces cantons.

"J'essayai le métal à l'eau régale, puis je lus tout le long article sur "l'or" dans l'Encyclopedia Americana. La-dessus je déclarai à Marshall que son métal était de l'or, de l'or pur.

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1 août 2014 5 01 /08 /août /2014 02:00
Le château de Pictordu - George Sand

Le chateau de Pictordu de George Sand
Editions Folio 2012
121 pages

 

 

 

 


 

"De quelque sorte qu'elles soient, George Sand n'aime pas les superstitions. Il n'est pas légitime, répète-t-elle dans la préface, de croire au merveilleux, aux actions des génies et des fées, aux phénomènes qui ne sont surnaturels que parce qu'on ne se les explique pas. En revanche, il ne faut pas cesser de travailler à enchanter le réel par le pouvoir de l'imagination et du rêve, facultés puissantes qui rendent l'existence à sa nature vraie, profondément poétique."

Extraites de la préface, je trouve ces quelques phrases éclairent bien sur l'état d'esprit de George Sand. J'ai beaucoup apprécié lire ce conte qui s'adresse aux enfants, écrit au 19ème siècle, où les histoires étaient bien différentes de celles que l'on racontent maintenant.

Un conte où différents sujets y sont abordés.

Mr Flochardet ramène à la maison sa fille âgée de huit ans. En chemin un arrêt obligé se fait dans les ruines du châteaux de Pictordu pour y passer la nuit. C'est là que la petite Diane va faire la rencontre avec une fée bienveillante. La maman de Diane est morte et cette fée va d'une certaine façon comblé le manque qu'éprouve l'enfant et lui servir de guide.

Auprès d'elle, Diane a un père qui l'aime. Il est peintre et beaucoup de talent. Mais il ne cherche pas à développer chez sa fille le goût de la peinture puisque l'éducation de cette époque range les filles dans la catégorie de joli ornement plutôt que de tête bien remplie.

Diane a une belle mère plus préoccupée à son apparence qu'à tout autre occupation. Elle ne témoigne d'aucune affection pour sa belle-fille qui lui semble bien étrange puisque cette dernière ne semble pas très attirée par les belles toilettes.

Puis, il y a docteur Féron, médecin de famille au regard un peu plus aiguisé que le père de Diane. Il donnera à la fillette la possibilité de s'ouvrir au monde de l'art.

A travers cette histoire George Sand parle de l'absence de la mère, l'imaginaire des enfants qu'elle juge bien utile, l'éducation des filles qu'elle souhaite égale à celle des garçons.

Un joli conte de George Sand à ne pas négliger.

 

Elle eût voulu s'occuper à autre chose, apprendre n'importe quoi. Elle questionnait beaucoup, mais madame Flochardet trouvait ses questions sottes, hors de propos, et ne jugeait pas utile qu'elle eût des curiosités pour les choses sérieuses.

La santé de l'intelligence n'est pas dans le repos, elle n'est que dans la victoire

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29 juillet 2014 2 29 /07 /juillet /2014 04:31
Cinq matins de trop - Kenneth Cook

Cinq matins de trop de Kenneth Cook
Editions Le Livre de Poche
219 pages

Roman australien
traduit de l'anglais par Mireille Vignol


 

Bien loin des fous rires avec Le koala tueur ce roman ne m'a pas moins captiver. Une histoire où d'emblée l'ambiance est pesante. La chaleur, la poussière de ce coin perdu de l'Australie étouffent, la lassitude de l'instituteur aussi. Et pour rajouter à cette impression quelque peu désagréable, j'ai lu ce livre dans les premiers jours où j'étais plâtrée avec l'étrange sentiment d'être enfermée dans une boite. Contexte tout à fait adapté que je conseille à ceux qui souhaite ce livre, le mélange est parfait !

John Grant est l'instituteur de Tiboonda, petit village au coeur de l'Australie, une zone quasi désertique. "Les gens s'étaient desséchés, la peau ravinée et les yeux enfoncés au fur et à mesure que leur cheptel se transformait en squelettes blancs. Mais ils restaient dans leur maison de bois, convaincus que la pluie finirait par tomber;"

L'année scolaire est terminée, il s'apprête à partir vers la côte où il pourra enfin s'échapper de la chaleur et de l'ambiance.

A Bundanyabba où il doit faire une halte, il se laisse entraîner dans tous les vices sans y apporter beaucoup de résistance. Kenneth Cook a le talent de raconter cette descente aux enfers sans trop en faire. Le ressenti de John Grant dans son parcours est magnifiquement retranscrit. C'est en spectatrice que je me suis sentie portée dans cette histoire. Je n'ai eu ni sympathie ni antipathie pour cet homme. J'ai souhaité qu'il puisse s'en sortir quitte à mourir.

Les pensées de John Grant sur sa situation  à la fernière page m'ont donné l'impression d'une bouffée d'air.

C'était magnifique !

 

Assis à son bureau, il regarda avec lassitude les enfants sortir un à un de la salle de classe.

Il sentit une bousculade autour de ses pieds ; les billets, les quatre cents livres, avaient disparu ; le contrôleur avait crié " face !" et Grant quittait le ring sans même avoir vu les pennies tomber.

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25 juillet 2014 5 25 /07 /juillet /2014 08:47
B comme brûlée - Sue Grafton

B comme brûlée de Sue Grafton
Editions Pocket 1993
249 pages
Roman policier
Traduit de l'américain par Joëlle Girardin

 

Nouvelle enquête avec le personnage de Kensey Milhone, détective privé que j'ai découvert dans un précédent volume Clic.

Ce n'est pas mon enquête préférée mais j'ai apprécié de découvrir un peu plus le personnage de Kensey qui se dévoile toujours un peu au cours de la lecture.

Kensey Milhone est contacté par une femme, Beverly Danziger, qui n'a plus de nouvelles de sa soeur, Elaine Bolt, depuis déjà quelques temps. Leur relation n'est pas parfaite mais pour régler une question d'héritage, la signature d'Elaine est nécessaire. C'est un cadavre calciné qui va être découvert et apporter plus de questions que de réponses, comme bon nombre de romans policiers d'ailleurs.

Kensey mène son enquête en nous faisant partager ses questionnements mais aussi ses indices à fur et à mesure. Une écriture claire et directe qui me convient tout à fait dans ce style de roman. Le déroulement de l'enquête et ses avancées sont bien amenés.  Peut-être un peu trop évidents avant la fin pour ma part, alors que d'habitude je suis plutôt  une piètre détective.

J'ai apprécié également les personnages que Kensey est amené à rencontrer, son auto dérision et son entêtement habituel.

 

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17 juillet 2014 4 17 /07 /juillet /2014 14:53
Le roman du café - Pascal Marmet

Le roman du café de Pascal Marmet
Editions du Rocher 2014
232 pages (roman + annexes)
Roman

 

C'est avec curiosité que j'ai commencé ce livre. Intriguée par le titre avec le mélange de roman et de café. Et bien c'est tout simplement un document, plutôt complet sur le sujet, qui se mélange avec l'histoire d'un jeune homme, grand passionné du café et qui a passé toute son existence dans une brûlerie.

Malgré un début de lecture prometteur,  je n'ai finalement pas complétement accroché à ce mélange. J'aurai préféré, à faire un choix, uniquement la partie documentaire ou en tout cas avec une histoire plus en arrière plan.

Est-ce le roman qui a servi de cadre à l'histoire du café ou l'inverse ?

D'autre part, deux points auraient besoin d'être éclaircis pour moi. Que penser des capsules à café après cette lecture ? Ont-elles réussies sournoisement en flattant le nouveau consommateur ? Je n'ai pas trouvé l'approche très claire.

Pourquoi reprocher le mélange des différents café alors que les italiens qui font un excellent café (ça n'engage que moi), le font justement avec mélange ?

J'ai apprécié par contre toute l'évolution du grain de café jusqu'au comptoir ainsi que l'éclaircissement sur son évolution historique et économique.

Je repart donc avec un avis mitigé car, bien que je n'ai pas ressenti d'ennui, je n'ai pas plus accroché aux personnages, à leur histoire.

 

 

 

 

Comme il est ardu d'écrire. Je plains les écrivains. Je comprends maintenant pourquoi ils boivent tant d'expressos.

Le roman du café - Pascal Marmet
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Présentation

  • : Une pause livre
  • : Je ne suis pas tombée dans la marmite de la lecture petite, j'ai tout fait pour l'éviter. J'ai bien lu les grands classique Club des Cinq, Fantomette, Lucky Luke, Astérix et surtout Caroline. Mais pas de quoi devenir une lectrice ravageuse. Ca m'a pris beaucoup plus tard et je me souviens encore de ce plaisir et de ce déclic. Depuis, la découverte des blogs et blogeurs(ses) mes lectures ont évoluées et le plaisir de partager n'est pas pour me déplaire. La bande dessinée est restée un intemporel pour moi. Sinon j'ai mes périodes romans, classiques, voyages, lectures françaises ou étrangères et c'est selon le moment et l'inspiration. Quelques billets sur des sorties viennent de temps en temps alimenter le blog. Ouvert depuis mars 2011 mon blog a quelques fois végété. C'est d'ailleurs le cas depuis fin 2015. Remotivée, je le relance et le dépoussière un peu. Pour commencer je ne suis plus Loo mais Milou et d'ici quelques temps je verrai pour la suite.
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