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9 juillet 2014 3 09 /07 /juillet /2014 15:27
Le goût de la marche - Collectif

Le goût de la marche - Collectif
Textes choisis et présentés par Jacques Barozzi
Editions Mercure de France 2008
135 pages

 


 

Le goût de la marche exprime un goût de terre : le complément, voire l'opposé (l'exact contraire) du goût de la mer. Pas forcément incompatible ! Après tout, le désir de marcher sur les eaux, n'est-il pas l'un des plus récurrents fantasmes des hommes ?

Le goût de la marche - Collectif

Parcours à travers différents textes écrits par des écrivains qui vouent à la marche une certaine passion, une façon de vivre, un stimulant à l'écriture. Nul doute que chaque marcheur s'y retrouvera. Il y a le chapitre consacré au marcheur des villes, celui au marcheur des champs et enfin au marcheur aux longs cours.

Certains se posent la question d'où vient ce besoin à l'homme de tant marcher. Qu'elle est donc sa quête ? D'autres nous livrent leurs voyages qu'ils ont entrepris pendant quelques heures, quelques jours, voire des mois ou des années.

L'esprit est au rendez-vous se laissant aller à la réflexion. Chemin faisant des rencontres ephémères, un contact à la nature, un regard sur le monde qui nous entoure.

Je me suis sentie flattée en lisant Karl Gottlob Schelle qui estime que, je cite : "Pour être touché par les charmes de la promenande et en ressentir le besoin intellectuel, il est nécessaire d'avoir un certain niveau de culture, un bagage intellectuel que tout le monde ne possède pas".

J'ai beaucoup souris aux propos de Balzac qui s'est installé sur un banc d'une grande avenue parisienne afin de décrire les démarches des piétons.

Toujours eu du mal avec les explications de Marcel Proust, ce qui ne m'étonne même pas.

J'ai été charmée par le texte de Jacques Réda qui nous parle de la marche sous la pluie.

 

Des écrivains, des voyageurs, contemporains ou beaucoup plus anciens. On y lit entre autre Virginia Woolf, Bruce Chatwin, Julien Gracq. Des textes assez courts mais un grand plaisir de lecture à lire à relire.

Un livre qui va être amené à voyager souvent dans ma valise. Hâte de pourvoir poser le pied par terre et de refaire le premier pas.

 

 

 

Le goût de la marche - Collectif

La marche, cette mécanique qui part des pieds et met en branle notre esprit, n'est-elle pas la meilleur façon d'investir notre propre corps et d'en tester ses limites ? "Marcher est peut-être - mythologiquement - le geste le plus trivial, donc le plus humain".

Le goût de la marche - Collectif
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22 février 2013 5 22 /02 /février /2013 04:00

Londres.jpg  Londres de M. Sasek

 Editions Casterman

 2009 (première édition 1960)

 61 pages

 à partir de 7 ans

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Une sorte de guide de voyage destiné aux enfants pour découvrir Londres et ses principaux centres d'intérêt. A chaque page une ou plusieurs images accompagnées d'un court texte où y est glissé quelques pointes d'humour. Lu avec des enfants, leur intérêt et leur étonnement ne manque pas de charme quand on fait la comparaison avec nos propres habitudes. Je pense notamment de faire la queue pour prendre le bus (incroyable pour des parisiens qui pensent qu'avec cette méthode on n'arrivera jamais à monter dedans), le sérieux des gardes de la reine...

 

Londres1.jpg

 

Ce qu'il y a aussi d'intéressant dans ce livre est qu'il date de 1960 et nous présente donc un Londres qui s'est tout de même modifié depuis. Londres n'est plus la plus grande ville du monde, les vêtements, les immeubles ont changé.  En dernière page est repris chaque passage qui mérite une information plus actuelle. J'étais d'ailleurs déçue d'apprendre que l'on ne pouvait plus visiter le zoo de Londres à dos d'éléphant.

 

Londres2.jpg

 

Ceci dit l'étonnement à continuer pour ma dernière quand elle m'a entendu lui expliquer que pour se rendre à Londres maintenant on traverse la mer avec un train.

 

Un joli livre intéressant qui m'a replongée plusieurs années en arrière.

 

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 04:00

Petit traité sur l'immensité du monde Petit traité sur l'immensité du monde de Sylvain Tesson

Edition Pocket

166 pages

 

 

 

 

 

 

 

Sylvain Tesson nous livre là un recueil sur le voyage que peut d'entre nous peuvent se vanter d'entreprendre. Il faut dire que pour lui c'est sa vie, celle d'ailleurs qui le fait vivre, pour laquelle il vit aussi. Un mode de vie qu'il entreprend bien souvent en solitaire avec une certaine philosophie en fuyant tout simplement la civilisation.

Son approche dans le livre nous emmène tout d'abord sur l'état d'esprit qu'il aborde sur le chemin accompagné de ses réflexions, ses prières, ses poèmes, ses observations, son carnet de notes, son ouverture sur le paysage qui l'entoure. Le chemin n'est pas toujours facile à entreprendre mais lui apporte beaucoup.

Il nous conte ses moments de solitudes dans des paysages très variés passant du désert à la forêt dense et le comportement adopté pour se sentir au plus près de la nature. Il rejette d'une certaine façon la modernité mais accepte volontiers de partager quelques moments avec des compagnons partageant d'une certaine façon son mode de vie. Je pense notamment aux escalades nocturnes assez surprenantes des cathédrales ou autres bâtiments donnant de la hauteur et une vision sur le monde assez différente et originale. Je pense aussi aux rencontres avec ceux qui ont choisi de couper les liens avec le monde pour s'installer dans une simple demeure loin de tout.

 

Il se voit d'ailleurs lui même retourner, le moment venu, nourrir de sa dépouille un arbre par sa racine afin de régler sa note envers la terre.

 

Ce sera pour un livre que je relirai volontiers plusieurs fois.

 

 

 

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22 mars 2012 4 22 /03 /mars /2012 05:00

nuit du dragon La nuit du Dragon de Norman Lewis

10/18 Odyssées

318 pages

 

Dragon 2012

 

 

 

 

 

 

 

Quatrième de couverture :

 

En janvier 1950, au moment où les trois pays de l'"Indo" française se libèrent de la tutelle coloniale, Norman Lewis entreprend un périple qui le mène de Saigon au nord du Laos et au Cambodge, pays qu'il décrit avec l'oeil d'un entomologiste, le flegme et l'humour tout britanniques. Qu'il réalise une interview du roi du Cambodge ou décrive les curieuses pratiques de la secte Cao-Dai, Lewis est un narrateur extraordinaire. Ce livre drôle, enlevé, qui évoque sans nostalgie les derniers moments de l'Indochine d'avant la tempête.

 

 

 

A moi la parole :

 

Je commencerai par remercier Catherine d'avoir eu l'idée géniale de lancer ce challenge Dragon 2012 qui m'aura permis de lire ce magnifique livre que j'avais pourtant commencé il y bien 15 ans pour l'abandonner au bout d'une cinquantaine de pages. Je n'en avais gardé aucun souvenir mais plutôt quelques coups de crayon pour souligner des mots ou quelques idées.

Maintenant c'est chose faite et même si j'ai eu quelques difficultés au démarrage la lecture a finie par être très plaisante.

 

Ce qui ressort de ce livre de façon générale est une magnifique description des paysages, d'une culture en passe de se débarrasser de la colonisation et une rencontre entre occident et les peuples d'Asie sur fond d'une guerre qui est présente tout au long de voyage mais paraît pourtant presque lointain surement dû au flegme britannique de Norman Lewis.


Cet écrivain voyageur entreprend au départ de Saigon un périple qui le conduira à travers le Viétnam, la Cochinchine, le Cambodge et le Laos. Bien qu'il bénéficie de l'aide pour organiser ses déplacements avec des français et des anglais installés dans ses régions ou présents pour des raisons militaires, il entre directement en contact avec la population d'où ressort parfois des situations assez amusantes de part sa méconnaissance de la langue locale.

 

Norman Lewis semble fait pour la rencontre avec "l'autre". Il nous fait partager ici un merveilleux voyage bien loin du tourisme d'aujourd'hui. Son écriture vivante est remplie de mille détails qui font qu'à chaque phrase on perçoit le paysage prendre vie et se mouvoir de toute la flore et la faune, sans oublié les insectes. Il en de même dans ses descriptions des scènes de ma vie quotidienne à Saigon ou d'autres lieux visités par l'auteur.

 

On y fait la rencontre de tribus Moïs, peuple primitif dont la mémoire collective semble provenir de temps préhistoriques. J'ai beaucoup apprécié ce que nous fait partager Norman Lewis de ses rencontres avec ces différentes tribus et dont les hommes furent considérées au XIXème siècle comme des animaux par les marchands européens. Son sens de l'observation et sa bonne connaissance de ce peuple nous permet de les aborder dans leur vie quotidienne, leur rite religieux et aussi dans leur contact avec les colons blancs. Esclaves de toutes les ethnies techniquement supérieures qu'ils ont eu à côtoyer ils sont également exploités dans les plantations des colons.

 

Norman Lewis fut confronté tout au long de son voyage par l'incompréhension de la langue partagée entre lui-même et les asiatiques. Il nous explique d'ailleurs quelques notions de la langue qui n'a pas du tout la même structure et dont un même verbe peut signifier pour eux plusieurs situations ce qui l'a conduit souvent à des conversations très longue pour aboutir au final au point de départ, pour ainsi n'obtenir aucune information qu'il souhaitait.

 

La rencontre avec la secte Cao-Dai est tout aussi intéressante. Cette religion datant du début du 20ème siècle mélange tout à la fois le bouddhisme, le confucianisme, le taoïsme, le spiritisme vietnamien, le christianisme et l'Islam. Dans un but d'en faire une religion universelle puisque son fondateur estime qu'à l'origine les peuples n'étant pas en communication chaque religion s'est adapté au lieu. La pratique de cette religion donne d'assez étrange rituels puisqu'elle prend en compte les tabous de chacune des religions. Son étude à travers le regard de Norman Lewis est passionnante.

 

Sans omettre de donner son ressenti, les observations qu'il fait sont sans jugement de sa part. Il va toutefois mettre en alerte sur la disparition à venir de certaines tribus due à la modernité mais aussi à la mauvaise intégration qui en est faite sans respect pour leur culture.

 

Les descriptions du comportement des asiatiques dans leur vie de tous les jours, dans leur rites mais aussi dans leur relation avec l'étranger est ici raconté avec beaucoup de justesse mais aussi beaucoup d'humour surtout lorsqu'il fait la comparaison avec le comportement des occidentaux.

 

Un livre d'une grande richesse, il y a tant à lire et à apprendre qu'il m'est bien difficile d'en faire un résumé. Un livre que je recommande à toutes celles et ceux qui souhaitent réaliser à travers la lecture un beau voyage d'une autre époque et surtout bien loin de notre tourisme. Un narrateur que je trouve exceptionnel et qui de plus possède un humour très fin. J'espère vous avoir donné envie de le lire.

Je ne manquerai d'ailleurs surtout pas de lire d'autres livre de Norman Lewis. Je suis d'ailleurs preneuse de vos conseils de lecture.

 

A découvrir.


 

 

 

 


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9 mars 2012 5 09 /03 /mars /2012 07:58

Le métro est un sport collectif Le métro est un sport collectif de Bertrand Guillot

Editions rue fromentin

170 pages

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 On se plonge avec ce livre dans l'ambiance de ce transport en commun tant utilisé. Tout y est très bien raconté et encore bien plus que dans la vrai vie. Pourquoi ? Tout simplement parce que l'auteur est un fin observateur et qu'il a su à merveille retranscrire l'ambiance, le portrait des gens, les situations autant classiques que celles plus atypiques.

 

 Je voulais en faire une lecture par petits bouts peut-être parce que le simple mot métro évoque pour moi utilité plutôt que voyage d'agrément. Je n'en fais pas un calvaire mais à petite dose ça me convient tout à fait. Finalement, ces textes à lire presque aussi rapidement que le trajet entre deux stations nous donnent à chaque fin de texte d'en lire un de plus.

 

J'ai apprécié l'écriture subtile de l'auteur. Il m'a semblé qu'il s'adressait directement au lecteur plutôt qu'à un auditoire. J'ai apprécié également comment il apporte son ressenti sur certaines situations. Je pense notamment aux "pardons, excusez-moi". On se sent forcément concerné (à condition bien sur de prendre le métro) et l'on prend un peu plus conscience de nos voyages souterrains qui étaient devenus depuis longtemps très routinier et sans saveur.

 

Il est vrai que l'on y communique beaucoup par code (malheur à celui ou celle qui qui ne sait pas l'interpréter). Et toutes ces conversations qui sont souvent inachevées puisqu'il y en a toujours un qui doit descendre à la station.

 

Je me suis demandé à un moment comment un éventuel  voyage à côté de l'auteur aurait été raconté dans ce livre. Mais je dois reconnaître que je passe mes voyages en métro souvent le nez dans un bouquin. Tout au plus on se serait dit : "pardon, excusez-moi et peut-être Merci.

 

Autres livres de l'auteur :

B.A-BA

La vie sans savoir lire

Hors jeu


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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 12:47

nuit du dragonLa nuit du dragon de Norman Lewis

Editions 10/18

318 pages

 

 

 

Quatrième de couverture :

 

En janvier 1950, au moment où les trois pays de l'Indo française se libèrent de la tutelle coloniale, Norman Lewis entreprend un périple qui le mène de Saïgon au nord du Laos et au Cambodge, pays qu'il décrit avec l'oeil d'un entomologiste, le flegme et l'humour tout britannique. Qu'il réalise une interview du roi du Cambodge ou décrive les curieuses pratiques de la secte Cao-Dai, Lewis est un narrateur extraordinaire. Ce livre drôle, enlevé, qui évoque sans nostalgie les derniers moments de l'Indochine d'avant la tempête.

 

 


 

Je viens d'en commencer la lecture qui sera peut-être longue mais qui est fort plaisante. Je ne suis pas très à l'aise avec les anciennes appelations des pays ce qui m'embrouille un peu. C'est l'occasion de revoir et la géographie et l'histoire. Quant à l'auteur son humour apporte beaucoup à la lecture. Merci de patienter encore un peu avant mon billet.

Si quelqu'un à une idée de classement pour ce livre merci d'avance de me la souffler parce que ça me gêne un peu de le placer dans la catégorie Romans.

 


          

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27 juin 2011 1 27 /06 /juin /2011 18:45

Un été dans l’Ouest – Philippe Labro

Editons Folio

284 pages

 

« Rien ne vous prépare à l’Ouest », dit le narrateur, l’étudiant étranger de Philippe Labro, parti travailler tout un été dans les montagnes du Colorado. Pour atteindre ce territoire irréel et sauvage, il est d’abord confronté au peuple de la « route ». Il rencontre Amy, la fille Clarke, aux cheveux fous, qui exhalent des senteurs de fleurs séchées – la liberé même. Il vivra avec elle un grand amour, fulgurant, dont le souvenir ne cessera de le hanter. Dans l’Ouest, c’est un autre monde, celui d’hommes porteurs de mystère : Bill, colosse impénétrable, recherché par d’étranges motards ; Dick, et son regard insensé de cascadeur ; Mack, qui l’initie aux secrets de la forêt. Au terme de cette aventure initiatique, qu’est devenu le jeune homme ignorant, apeuré, assoiffé de vivre et de savoir qui se faisait appeler Frenchy ?

 

A moi la parole :

 

Suite de L’étudiant étranger, Un été dans l’Ouest raconte le séjour du nommé Frenchy qui part travailler dans les forêts du Colorado.

Les rencontres qu’il y fera seront d’un tout autre genre de celles faites à l’université. La différence qu’on lui fera ressentir ne sera moins établie sur ses origines que sur son statut d’homme qui a de l’instruction.

Ce sera une lutte quotidienne pour garder sont travail et sa place au sein du groupe mais aussi l’occasion d’amitiés et de rencontres riches et marquantes.

Une belle histoire de relations humaines. Philippe Labro nous raconte sans détour cette rencontre avec cette région des Etats-Unis et les hommes.

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18 juin 2011 6 18 /06 /juin /2011 21:20

l'étudiant étranger philippe labro

Editions Folio

312 pages

 

Invité par une prestigieuse université de Virginie, un jeune Français découvre émerveillé la vie dorée des college boys, leurs équipes sportives, leur campus dans une vallée paradisiaque. C’est le temps d’une Amérique sage, celle d’avant l’explosion des mœurs et le fracas des années soixante.

Très vite, le jeune homme comprend qu’il reste un « étudiant étranger ». Il va franchir des lignes, transgresser des tabous, sans même s’en rendre compte : d’abord en faisant l’amour avec une jeune institutrice noire, April. Ensuite en tombant amoureux d’une héitière de Boston, Elisabeth, personnage fantasque et corrosif…

Sur un ton limpide de sincérité, ce récit de formation ressuscite, avec humour et nostalgie, les jours fragiles de l’adolescence, quand « tout était la première fois ».

 

 

Mes impressions :

 

Une histoire qui nous plonge dans l’Amérique des années 50, et où le narrateur y découvre en quittant la France pour y poursuivre ses études, tant de différences. Bien qu’il s’insère assez bien dans sa nouvelle université, il ressent constamment cette différence d’état d’esprit. Mais l’Amérique l’entraîne aussi dans de grands rêves et des projets qu’il n’est pas sur de pouvoir réaliser en France.

Les rencontres qu’il fait tout au long de cette année deviennent pour lui une nouvelle expérience, une nouvelle découverte.

L’ambiance de cette Amérique telle qu’elle est décrite m’a beaucoup plu. L’époque où le rock ne va pas tarder à entrer en scène, des « dates » ou sorties accompagné de son ou sa partenaire choisi(e) selon un protocole bien précis, les virées à travers le pays au volant du Buick, les relations avec les noirs.

C’est aussi le style d’écriture de Philippe Labro qui m’a fait aimé ce roman. C’est à la fois drôle et sensible.

 

Buick
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Présentation

  • : Une pause livre
  • : Je ne suis pas tombée dans la marmite de la lecture petite, j'ai tout fait pour l'éviter. J'ai bien lu les grands classique Club des Cinq, Fantomette, Lucky Luke, Astérix et surtout Caroline. Mais pas de quoi devenir une lectrice ravageuse. Ca m'a pris beaucoup plus tard et je me souviens encore de ce plaisir et de ce déclic. Depuis, la découverte des blogs et blogeurs(ses) mes lectures ont évoluées et le plaisir de partager n'est pas pour me déplaire. La bande dessinée est restée un intemporel pour moi. Sinon j'ai mes périodes romans, classiques, voyages, lectures françaises ou étrangères et c'est selon le moment et l'inspiration. Quelques billets sur des sorties viennent de temps en temps alimenter le blog. Ouvert depuis mars 2011 mon blog a quelques fois végété. C'est d'ailleurs le cas depuis fin 2015. Remotivée, je le relance et le dépoussière un peu. Pour commencer je ne suis plus Loo mais Milou et d'ici quelques temps je verrai pour la suite.
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