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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 04:00

Ce billet est la suite de la présentation des Docks en Seine présenté dernièrement.

 

         Balenciaga1.jpg  Balenciaga2

 

Dans celui-ci je vais vous parler des expositions que j'étais venu voir ce jour là.

Je vais vous montrer quelques photos prises avec mon appareil, en triant les meilleurs car la qualité est loin d'être bonne. Mieux vaut pour se faire une idée des vêtements présentés regarder celles données dans les liens ci-dessous. Elles sont de bien meilleure qualité.

 

Deux expositions sont donc présentées jusqu'au 7 octobre 2012. La première celle de Cristobal Balenciaga un grand couturier espagnol (1895-1972) très attiré par le 19ème siècle.

 

L'exposition est présentée en deux partie.

 

La première présente des modèles de vêtements féminins et vraiment féminins ainsi que des accessoires. Toutes une série de robes, vestes, manteaux jupons, colliers, tous aussi beaux les uns que les autres. La plupart sont de couleur noire. Je regrette beaucoup de ne pas avoir fait la visite commentée car j'en aurai certainement appris beaucoup. Malheureusement les visites guidées ne se font pas tous les jours. Je me suis donc contentée de regarder dans le détail le travail artistique de ces vêtements. Des robes pour cocktails, robe du soir, des manteaux sublimes avec une ligne toute simple mais si stylée. Deux robes étaient présentées à plat dans des vitrines. Malgré leur belle apparence on pouvait se rendre compte qu'elles n'étaient plus toutes jeunes et à considérer comme des pièces de musée. Il est d'ailleurs expliqué dans un lien ci-dessous que les vêtements sont d'époque (pas uniquement ceux de cette expo mais tous ceux du musée Galleria) et que pour les préserver du temps ils ne sont sortis qu'occasionnellement afin de pouvoir les garder dans de bonnes conditions. Nous n'avions d'ailleurs pas le droit d'utiliser le flash. Ce qui en plus des vitrines et des néons ne permettait vraiment pas de faire de belles photos.

 

La deuxième partie composée de seulement une trentaine de modèles mais pas moins intéressante nous présente des costumes régionaux populaires espagnols. Là aussi le travail semble considérable. La minutie des détails font un ensemble vraiment magnifique. Je me suis même parfois collé le nez à la vitre pour voir d'encore plus près. Il y avait même des vêtements de poupées que je n'aurai même pas osé jouer.

 

Mon impression générale sur cette collection est vraiment très bonne. Je me répète mais j'aurai vraiment aimé une visite guidée. Les tissus ont gardé beaucoup d'éclat, on voit bien d'ailleurs l'excellente qualité (dans un des liens il est expliqué que les vers à soie avait parfois un régime spécial afin d'obtenir la qualité souhaité - quel talent !). Pour beaucoup le style ne m'a pas semblé si vieilli et je serai bien reparti avec un manteau qui me faisait de l'oeil.

 

Voici donc mes misérables photos.

 

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Et la dernière que je dédicace à une amie qui m'est chère, souffrant d'hallux valgus et qui aurait certainement lancé un cri de désespoir en voyant ses bottines incroyablement fines.

 

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La deuxième exposition représente l'univers de Rei Kawakubo une créatrice d'origine japonaise anti-conformiste au monde de la mode. Sa collection printemps-été 2012 Comme les garçons est présentée dans de grande bulle transparente où différents mannequins habillés tout en blanc mettent en scène les différentes étapes de la vie : naissance, mariage, mort et transcendance.

Après avoir vu l'exposition précédente, il est clair que l'on passe ici dans un autre monde. L'inspiration semble venir de beaucoup de sources. Et ce blanc tout partout interpelle beaucoup car même les chevelures sont blanches et également très originales.

 

Je n'ai malheureusement pas pu transférer mes propres photos, je vous en présentent donc quelques unes prises sur le web.

 

Si effectivement les commentaires ne sont pas d'égales longueurs cela ne signifie pas que j'en ai préféré une plus que l'autre, quoique que. Elles sont tout simplement très différentes. La première je l'ai vue comme un musée avec des vêtements qui me parlaient en tant que femme et dans lesquels, en tout cas pour certains, je me voyais très bien les porter tout en me transportant dans une autre époque, un autre milieu, une autre vie... Et puis je l'ai également trouvée très riche par tout le travail qu'elle représente autant pour la réalisation des vêtements que pour leur conservation.

L'autre expo, pour moi était plus vivante. Normal, c'est d'actualité. Bien sur je me suis moins vue dans les tenues présentées mais en même temps, connaître cet univers était loin de m'être déplaisant.

 

Balenciaga2 

Balenciaga3.jpg

 

balenciaga4.jpg

 

Balenciaga5.jpg

 

Balenciaga6.jpg

 

 

Pour terminer sur cette sortie deux choses que je vous conseillerai :

 

La première que j'ai oublié de noter dans l'article précédent est pour ceux qui se rendraient sur les lieux pour la première fois. Faites le depuis le pont Charles de Gaulle (en provenance de la Gare de Lyon). Ce chemin vous permettra d'avoir une vue générale des Docks. Bien qu'il n'y ait rien de spectaculaire la conception est assez originale.

 

La deuxième, si vous allez voir les expositions, préférez la visite guidée certainement bien plus riche qu'une simple visite par soi même. A moins d'en connaître déjà beaucoup.

 

Pour en savoir plus :

 

Le site de Balenciaga

Site CouleurParfun qui présente Balenciaga

Lien vers Paris.fr pour Balenciaga

 Lien vers Paris.fr pour Comme les garçons

Article du Figaro qui nous parle du couturier Balenciaga Très intéressant

 Lien sur les trésors cachés de l'atelier du musée Galleria

 Article d'EgoDesign qui présente le parcourt de la couturière Rei Kawakubo

 Article du journal La Croix sur l'expo Comme les garçons




 

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 04:00

Strangers T2Tome 2 - Un murmure dans le vent

 

 

 

Telles que je les ai laissé je les ai retrouvé. Francine et Katchou toujours embarquées dans des situations assez chaotiques où dans ce tome on apprend d'avantage sur le passé houleux de Katchoo. Leur liens sont toujours aussi forts mais Francine se plaint des cachotteries de son amie. Pire, David semble en connaître bien d'avantage qu'elle.

David n'a pas perdu espoir d'un amour partagé avec Katchou mais se retrouve toujours écorché entre ces deux amies.

Il y a tout de même de la trahison dans ce tome sans que l'on puisse en connaitre encore l'importance. De plus on nous abandonne à la dernière image avec un suspens qui me fait regretter de ne pas avoir pris le tome suivant qui n'est d'ailleurs plus disponible. Arf !

 


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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 04:00

 

Il me prend l'envie de venir parler de ces petits coins que j'ai découvert ou que je connaissais déjà et où je me suis retrouvée pour lire. Les premiers articles concerneront pour la plus part des salons de thé ou bars de Paris. Mais il pourra s'agir par la suite d'autres endroits en dehors de la capitale.

 

Je commence donc aujourd'hui par La fourmi ailée, un salon de thé situé dans le 5e arrondissement de Paris.

 

 

 

Fourmi-ailee.jpg

 

 

 


Ambiance et cadre : Il s'agit d'un restaurant salon de thé avec une excellente ambiance. Visiblement la carte pour y manger est attirante. Un endroit qui se trouve très bien situé puisqu'il se trouve dans un lieu touristique très fréquenté. On y trouve à proximité les bords Seine, la Cathédrale Notre Dame, le quartier Saint-Michel. Malgré tout La fourmi ailée se trouve dans un coin plus tranquille.

En entrant, la salle est grande,aérée avec une salle en mezzanine. La décoration est plaisante et pour mon plus grand plaisir au fond de la salle se trouve une cheminée (en activité) auprès de laquelle je me suis empressée de m'installer bien que le feu ne soit pas allumé (si les feux de cheminé sont autorisés à Paris).

Au mur se trouve accroché des tableaux de peintures de styles différents. Mon préféré, celui qui représente un grand panier en osier rempli de coings. Sur toute la hauteur des murs il y a des étagères avec des livres. Certains sont facilement accessibles, les autres nécessitent une échelle qui est d'ailleurs prévue.

 

  Fourmi ailée3             Fourmi ailée4


Ce que j'ai bu et peut-être mangé : Un thé Assam (Inde) corsé et riche sans être trop âcre avec du lait (3,80 euros) accompagné d'une tarte au citron sur lit de pruneaux faite maison (6,50 euros). La carte des thés n'est pas très longue mais cela ne me paraît pas un inconvénient. Je n'ai pas été déçue.

 

Accueil et service : Un bon accueil, un serveur bien occupé mais qui garde le sourire. J'ai apprécié qu'il me demande si je souhaitais mon lait chaud ou froid.


Ce que j'ai lu : Le métronome de Lorant Deutsch qui convenait très bien dans ce coin de Paris.


Le quartier : Pour ce qui est des livres c'est un vrai paradis. Outre les bouquinistes le longs de la Seine et la fameuse librairie Shakespeare ans Compagny  on trouve notamment dans la rue des boutiques de Bd neuves ou d'occasion.

 

Histoire : La rue tient son nom des bottes de paille (fourrage) que les étudiants utilsaient comme siège pur suivre les cours de la Sorbonne se déroulant en plein air. Lorant Deutsch en parle dans le Métronome.

On trouve dans le square St Julien le Pauvre le plus viel arbre de Paris, un robinier planté en 1601.

La rue est cité par Dante dans la Divine Comédie et par Honoré de Balzac dans le roman L'interdiction. Les descriptions de ce dernier surprennent en comparaison de l'état actuel de l'endroit.


Fourmi-ailee-rue-fouarre2.jpg               Fourmi-ailee-viel-arbre.jpg

 

 


 Lieu : La fourmi ailée 8 rue Fouarre Paris 5e Métro : Maubert Mutualité (10), Saint-Michel (4)

        ou RER B ou C Saint-Michel Notre Dame, bus  21 24 27 83 84 87.

        Ouvert de 12h00 à 00h00 - Fermé le dimanche

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 04:00

Koala tueur Le koala tueur

de Kenneth Cook

Editions autrement

151 pages

nouvelles

Australie

 

amour-coeur-00011

 

 

Livre lu dans le cadre du challenge Animaux du Monde organisé par Sharon

Animaux du monde

 

 

 

 

C'est à cause déjà d'A Girl et ensuite de Keisha si j'en suis arrivée à lire ces formidables histoires. Merci donc les filles.

Rire fut même parfois un euphémisme !

 

Les quinze nouvelles que comporte ce livre nous entraînent dans le bush de l'Australie pour nous narrer les histoires rocambolesques de l'auteur. Kenneth Cook, en nous assurant qu'elles sont toutes véridiques, à vécu visiblement des aventures mettant parfois sa vie en péril en se trouvant en compagnie d'animaux sauvages, de mineurs, d'aventurier au comportement assez étonnant.

Il me semble là intéressant de présenter l'auteur australien (1929-1987) qui fut journaliste, réalisateur, scénariste et bien sur écrivain. Physiquement c'est une personne présentant de l'embonpoint, d'allure peu sportive, assez trouillard, trouvant toujours une bonne occasion pour se désaltérer d'une bière dans un pub, grand passionné de ce coin qu'est le grand désert australien et surtout, surtout, possède une grande capacité à se mettre dans des situations à grandes difficultés.

 

En lisant toutes ses histoires j'ai tout de même trouvé que Kenneth Cook a un don particulier pour raconter. Quelque soit l'histoire, qui pourrait être bien banale avec une autre personne, ses transcriptions en font un délicieux moment de lecture. On retrouve d'ailleurs des situations similaires dans certaines. C'est à se demander parfois si inconsciemment il ne recherche pas ce genre de situation.

 

Quelques extraits :

 

"Un observateur peu aimable aurait sans doute noté qu'en descendant du ferry à Kudulana, nous formions un couple assez comique : l'un grand, rond et barbu ; l'autre petite, ronde avec des cheveux flous ; chacun portant une sorte d'épuisette à long manche et une salopette marron identique, car j'en avais emprunté une au ministère des parcs et Forêts. Le conducteur du ferry, qui déchargeait les cages en ois destinées à nos futures prises, n'hésita d'ailleurs pas à suggérer que notre tâche allait être facilitée par le fait que, dès qu'ils nous apercevraient, les koalas ne manqueraient pas de tomber des arbres en se tordant de rire."

 

 

"George (un chien) s'approchant de moi calmement et je sus exactement ce qu'il allait faire : doucement déposer ce reptile furieux et déchaîne à mes pieds.

On peut difficilement me qualifier d'agile. On pourrait même me résumer à un quintal de graisse d'âge moyen. Mais je grimpai sur le comptoir d'un seul bon. Imité par les six autres clients."

 

 

Dans le koala tueur, Kenneth Cook sera donc confronté tout à tour à des serpent mortel, des crocodiles en pleine période de reproduction, de koala bien plus dangereux qu'ils ne paraissent, de mineurs un peu fou et roublards, d'un chameau kidnappeur et j'en passe.

Je ne me suis pas lasser de lire ces histoires qui apportent un moment de dépaysement, de bonne humeur et la description que l'auteur nous offre sur cet environnement si désertique mais très vivant est un pur plaisir.

 

 

 

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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 04:00

Au-bord-du-monde.jpg Au bord du monde de Bruno Le Floc'h

Editions Delcourt - 2003

103 pages

BD

 

 

 

 

 

 

 

Trois histoires de Bretagne qui se passent dans un passé non précisé, peut-être au début du 20ème siècle ou fin du 19ème.

Ces trois histoires qui ont en commun la dureté de la vie des paysans bretons, les superstitions et les croyances très ancrées qui rythme leur vie.

 

J'ai trouvé que l'atmosphère des trois histoires étaient assez différentes. Et même si elles se déroulent comme de courtes nouvelles, j'ai eu l'impression de m'approcher assez près des personnages dans leur ressenti et l'ambiance qui régnait. Des histoires dont j'ai eu l'impression que la fin n'en n'était pas vraiment une.

 

La première avec Pasd'bol un marin dont plus personne ne veut sur son bateau. Mais des circonstances et un marin bien moins superstitieux l'amèneront à prendre la mer pour venir en aide aux pêcheurs.

 

La deuxième raconte l'histoire d'un jeune adolescent qui quitte son village et la misère pour retrouver son frère, installer plus loin, en espérant pouvoir y trouver une vie meilleure. Sa rencontre avec des romanichelles va changer le cours de sa vie.

 

La troisième, peut-être ma préférée, que je qualifierai d'un hommage à l'amitié nous fait suivre la dernière tournée des bars d'un jeune trépassé accompagné de ces amis. A la fois sensible et drôle c'est une histoire qui se termine à point sans qu'il y ait besoin d'en rajouter.

 

Ce petit tour en Bretagne m'a bien plu. Les dialogues ne se font pas très généreux, avec d'ailleurs des passages sans aucune parole. Mais les images se suffisent à elles-mêmes.

 

 

 

 

 

Prochains livres de l'auteur que je me prévois :

 

Outremers

Paysage au chien rouge

Trois éclats blancs

Une après midi d'été

 

 


 

 

 

 

 

 


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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 17:43

Za m'a déposé un lien vers un court-métrage très amusants. Je vous en fait profiter, ces petits zoizeaux sont trop mignons. Et pour la peine j'ouvre même une catégorie spéciales "Petits intermèdes".

 

Merci encore Za.

 

Pixar - For the birds


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22 mai 2012 2 22 /05 /mai /2012 04:00

Tous les petits animaux

Tous les petits animaux

de Walker Hamilton

Editions 10/18 - 2000

135 pages

roman écossais

  amour-coeur-00011

 

Lu dans le cadre du challenge Animaux du monde organisé par Sharon.

 

Animaux du monde

 

 

 

 

 

 

Cette histoire semble un conte, une histoire touchante que l'on peut voir sous différents aspects. L'histoire de deux personnages un peu décalés que le hasard va faire se rencontrer. Bobby, un homme de 31 ans est resté dans sa tête un enfant suite à un accident de voiture. C'est lui le narrateur et par son esprit enfantin il donne un touche encore plus émouvante à cette histoire si peu commune.

 

Lorsque sa mère meurt, il se retrouve confronté à son beau-père qu'il surnomme "Le Gros" et qui est un homme cruel. Il parvient à s'enfuir et c'est alors qu'il rencontre Monsieur Summers, un homme solitaire dont on découvrira plus loin son sombre passé.

 

L'activité de ce dernier consiste à enterré tous les petits animaux ayant été victimes de la cruauté des hommes. Munis d'une truelle, il ramasse sur la route les lapins, les hérissons et même les escargots pour leur offrir un enterrement digne de ce nom pour ces êtres qu'il respecte plus que tout. Il n'hésite pas non plus à se confronter à certaines personnes de façon assez brutale pour défendre sa cause. Vivant caché dans la nature, il évite le contact prolongé avec le genre humain.

 

Bobby voit en lui une personne qui lui apportera tout le réconfort et l'attention dont il a besoin et il décide de rester auprès de lui. Leur aventure nous fera partager de bons moments comme des moins bons jusqu'à ce qu'à la fin, la décision qu'ils prennent tous les deux change le cours des événements.

 

Le langage de Bobby est plaisant, parfois drôle par ses réactions innocentes qu'il peut avoir sur le monde qui l'entoure. Bien qu'il ne possède pas toutes ses facultés mentales, il fourni tous les efforts possibles afin de pouvoir mieux appréhender les obstacles qui se trouvent sur son chemin.

On ressent également tout le sérieux que les deux hommes, chacun à sa façon, mettent dans leur existence.

 

La fin n'arrive pas par un grand suspens mais elle est tout à fait en concordance avec le récit.

Un récit qui fait du bien à lire et qui nous montre la vie sous un facette bien différente.

A découvrir.

 

 

Ce livre a été adapté au cinéma en 2001.

 

 

L'avis de Folfaerie

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20 mai 2012 7 20 /05 /mai /2012 04:00

Lou-kiang.jpg Lou-Kiang et le mystère du lac aux bambous de Marlène Jobert

Livre CD

Livre conte

Editions Atlas

26 pages

à partir de 5 ans

 

 

Un livre qui se lit et s'écoute accompagné d'une belle musique de Chine.

 

L'histoire de Lou-Kiang orpheline et employée comme domestique chez les Tchou, des êtres méchants et cupides qui possèdent de grandes plantations nous entraîne dans un conte charmant et drôle à la fois.

 

Lou-Kiang doit subir chaque jour la méprise des ses employeurs, même chanter lui est interdit. Elle rencontre un jour une vieille femme qui mendie pour manger et qui pour la remercie lui donne un précieux conseil valant bien mieux que toutes les richesses du monde. Elle lui dit de se rendre jusqu'au lac aux bambous. Si l'on apprend comment Lou-Kiang bénéficie d'un miracle en se rendant à ce lac on apprend également pourquoi les singes ont le culs rose.

 

Une belle histoire bien racontée et très drôle pour les enfants et les plus grands.

A découvrir


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18 mai 2012 5 18 /05 /mai /2012 04:00

Les Docks, quai d'Austerlitz

 


  Challenge-Paris.jpgDans le cadre du challenge Paris je t'aime organisé

par Sharon et l'Ogresse de Paris

 

 

 

 

 

 

 

Une balade dans Paris m'a conduite dernièrement jusqu'au bords de Seine dans le quartier d'Austerlitz qui a bien changé de visage. Depuis quelques temps d'ailleurs les bords de Seine, surtout dans ce coin prend un air un peu plus charmant qu'autrefois et nous incitent à venir s'y promener. 

 

Docks.jpg

 

 

Les Docks qui furent autrefois un vaste bâtiment servant à recevoir les marchandises transporter par voie fluviale avant d'être redistribuée. Le bâtiment a également servi d'entrepôt de moquette, de centre d'examen (j'en ai passé quelques uns d'ailleurs) pour ensuite resté quelques temps sans avenir précis. Il m'a semblé comprendre qu'il reprendra ses fonctions premieres, mais pas que !

 

Depuis avril dernier il a enfin ouvert ses portes au public avec la Cité de la mode et du design.

Actuellement deux collections y sont exposées mais son activité ne se limite pas seulement à ça. De nombreuses activités, manifestations vont y être proposées qui devraient combler bon nombres de personnes et faire de cet espace un lieu de vie qui semble promettre. Restaurant, boite de nuit, salon de thé, défilé de mode, expositions, boutiques, espace musical. J'en ai peut-être même oublié. 

 

Au premier abord, lorsque je suis arrivée le lieu m'a semblé spacieux à l'extérieur, bien agréable pour venir simplement y flâner sur un plancher en bois. La vue sur l'autre rive n'est pas désagréable. On ressent bien que cet espace est nouveau, il n'y a pas encore vraiment de vécu et tout n'est pas encore accessible. J'ai été bien déçue de ne pouvoir accéder à la terrasse du haut et de trouver les portes closes du salon de thé. Mais qu'à cela ne tienne, je reviendrai. Son aspect particulier n'est pas vilain. Tout en conservant les gros murs en béton ils ont habillé le bâtiment d'une structure métallique verte qui donne un aspect différent selon notre angle de vue.

 

Après une visite aux expositions présentes (qui seront commentées plus tard) je suis repartie contente de ma rencontre avec ce nouvel endroit où je pense m'y retrouvé à l'occasion d'autres promenades.

 

Si vous voulez y faire un tour voici l'adresse :

Les Docks, Cité de la mode et du design, 36 quai d'Austerlitz Paris 13ème.

Métro : Quai de la rapée (5) ou Quai de la gare (6). Il y a même un arrêt de bus au nom de la cité mais je ne me souviens plus du n°.


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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 13:32

birmane Birmane

de Christophe Ono-dit-Biot

Editions Pocket

408 pages

 

 

Lu dans le cadre du Challenge Dragon 2012 organisé par Catherine

 

Dragon 2012

Lu en lecture commune avec Ys

 

 

 

 

 

 

 

 

Le plaisir de lire cette histoire présentée comme une "folle histoire d'amour entre un jeune homme naïf, une médecin humanitaire et un pays à la beauté hypnotisante" qu'est la Birmanie, s'est vite transformé pour moi en déception. Il était également écrit que cette aventure palpitante plonge le lecteur au coeur du plus fascinant pays d'Asie. Je n'ai pas trouvé l'aventure palpitante et la présentation de ce pays véritablement fascinant ne m'a pas du tout satisfaite.

 

Tout d'abord l'histoire en elle-même m'a semblée ne pas s'accorder avec le décor. Même s'il est fait notion de l'attachement à ce pays, je n'ai pas ressenti le lien entre les personnages et la Birmanie. Comme si l'histoire aurait pu se dérouler dans n'importe quel pays. L'histoire des personnages ne m'a pas séduite ni leur personnalité et surtout César, le narrateur, le jeune homme naïf. Son portrait m'a semblé ambiguë. Présenté à la fois comme un homme terne, banal, peu sur de lui, gaffeur mais arrivant malgré tout et tout au long du roman à affronter certaines situations que jamais aucun autre n'a réussi à entreprendre. Même son prénom m'a agacé, César ! un peu pompeux tout de même.

 

Je me suis toujours donné la règle en entamant un livre d'écouter ce que l'auteur a à raconter sans me permettre d'imposer ce que moi j'avais envie de lire. Mais là cette fois-ci même avec une bonne volonté, je n'ai pas réussi à me laisser entraîner dans l'histoire.

 

La Birmanie telle qu'elle nous est présentée parait bien floue. Je ne l'ai pas bien aperçue. J'en attendais bien plus. On me l'a déjà racontée à travers le récit d'un voyage entrepris par une personne de mon entourage. Le récit m'avait parut plus éloquant.

 

L'obsession de César qui souhaite rencontrer à tout prix pour l'interview de sa vie un important trafiquant de drogue le conduit dans des situations bien délicates mais à la fois cadrées par les personnes de son entourage. L'évolution dans sa démarche semble parfois tirée par les cheveux. Quant aux relations occident/orient telles qu'elles sont présentées m'ont assez agacées. Seuls les occidentaux qui ont brisé leur liens avec leur pays d'origine sont indéniablement les meilleurs.

 

L'écriture aussi m'a surprise. La présence assez fréquente de phrases sans verbe m'a souvent fait déraper dans ma lecture. Je pensais avoir mal respecté la ponctuation ou avoir mal lu. Mais non, c'était bien comme ça. Je n'adhère pas vraiment.

 

Mais ma déception fut à son comble en approchant de la fin où l'histoire va frôler le domaine du surréalisme. Le passage du "héros"  en "cavale" dans un lieu paradisiaque avec sa belle (Julie) m'avait déjà semblé un peu trop mystérieux et manquant d'explications. Quant à la transformation de Julie en libératrice du pays en se transformant en déesse mais également en animal m'a vraiment éloigné de ce livre.

 

Je pensais lire un livre sur la Birmanie mais cette histoire superposée m'a plutôt laissée sur ma fin.

 

Malgré cette déception, je ne refuserai pas de découvrir un autre livre de l'auteur bien au contraire.

 


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Présentation

  • : Une pause livre
  • : Je ne suis pas tombée dans la marmite de la lecture petite, j'ai tout fait pour l'éviter. J'ai bien lu les grands classique Club des Cinq, Fantomette, Lucky Luke, Astérix et surtout Caroline. Mais pas de quoi devenir une lectrice ravageuse. Ca m'a pris beaucoup plus tard et je me souviens encore de ce plaisir et de ce déclic. Depuis, la découverte des blogs et blogeurs(ses) mes lectures ont évoluées et le plaisir de partager n'est pas pour me déplaire. La bande dessinée est restée un intemporel pour moi. Sinon j'ai mes périodes romans, classiques, voyages, lectures françaises ou étrangères et c'est selon le moment et l'inspiration. Quelques billets sur des sorties viennent de temps en temps alimenter le blog. Ouvert depuis mars 2011 mon blog a quelques fois végété. C'est d'ailleurs le cas depuis fin 2015. Remotivée, je le relance et le dépoussière un peu. Pour commencer je ne suis plus Loo mais Milou et d'ici quelques temps je verrai pour la suite.
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